SPHAÈROS
SPHAÈROS - ALBUM "POSSESSION" SORTIE LE 06 MARS PAN EUROPEAN RECORDING
« Après 30 ans de créations multiples (sculptures, visualisation rétinique, voyages, musique, poésie) j’ai décidé de tout mélanger et de créer un monstre unique et protéiforme : « « Sphaèros » Possession ». J’ai crée 7 musiques et 7 films venant des sphères, sans forme conçus a l’avance, crée spontanément comme de l’écriture automatique, laissant ainsi parler les esprits. Cette oeuvre est formée de surimpressions et de couches successives sonores, visuelles, poétiques et colorées. Ces éléments liés créent alors un univers kaléidoscopique vivant, unique, regroupant la vision, l’audition et la réflection de l’esprit dans l’au-delà et ses mondes parallèles.
Pour cette création je me suis plongé pendant 3 ans dans mon monde intérieur menant une vie quasi monastique afin de puiser l’essence même de la création, et de partager ma vision de la magie de la réalité avec le plus d’ouverture possible et sans concession. Projet personnel mais accompagné par mes amis a certain moment pour des voix, danses, arrangements batterie. L’acte live sera un rituel en plusieurs dimensions avec des performers, plus qu’un concert habituel. Je serai accompagné de Holly carlson (danse), Adrian Bang (batterie), Louise Ebel Pandora, symphonie monotone (danse), Machiavel Machina (voix), Lenny Kray (enregistrement), Sylvia Kochinski (voix), Stephanie Swan Quills (voix), Dante Fontana (Neckrocifer), Anja,Attila bela babos. »
On en parle dans la presse
« Il y a deux types de rock psychédélique : celui qui jure ses grands dieux païens qu’il en est, et celui qui en est vraiment. Le premier ne souffre vraiment d’aucune contrainte de style ni de fabrication, il peut sonner comme n’importe quelle variété qui passe sans déranger personne en supermarché. Le deuxième peut prendre des formes assez diverses – du rock bluesy qui dilate les pupilles au flot de lave radioactive – mais il exige sans arrangement possible un engagement total, corps, ego et esprit mêlés, de celui qui s’y adonne au moment où il crée, car comment provoquer l’altération de l’état de la conscience de l’auditeur quand on ne profite pas soi-même des vertus transformatrices de son art ?
La musique de David Spher’Os, qui s’adonne à l’altération de sa propre conscience par tous les arts et tous les pores depuis trois décennies, fait évidemment partie de la deuxième catégorie. »
LIBÉRATION
« Si David Sphaèros a des allures de Dr. John empaillé sur la pochette de Possession, son premier album en marge du groupe Aqua Nebulla Oscillator, c’est parce qu’il est traversé par les mêmes effluves vaudous que son illustre (et lointain) aïeul de la Nouvelle-Orléans. Lancé dans une mission d’évangélisation mystique, le Français dévoile aujourd’hui le troisième extrait clippé (après celui de Lucifero et Possession) de ce premier disque en forme de montée psychédélique, aussi baroque que la B.O. du film Lucifer Rising de Kenneth Anger, signée Bobby Beausoleil. »
LES INROCKS
« Il se dégage de ce disque non identifié de vrais moments hippie, avec flutes et tambours, comme aux plus belles heures du « More » de Pink Floyd pour Barbet Schroeder. »
GONZAI