DOPAMOON

Retrouvez DOPAMOON sur :

Écoutez DOPAMOON sur :

DOPAMOON

DOPAMOON - SORTIE LE 3 AVRIL

Dopamoon c’est comme une piñata musicale, une fête d’anniversaire colorée et incontrôlable où les enfants dopés au sucre ont pris les commandes.
Tout part d’un ping pong entre Francesca Veneziana et Virgile Alien. Arpèges de guitare efficaces, lignes de basse vrombissantes et percussions volubiles: le duo compose, échange et expérimente dans un tourbillon créatif qui débouche sur une supernova luxuriante. Les producteurs fonctionnent par télépathie (ou par email) et font fusionner leurs univers pour créer une collection de tracks composites, déchaînés et jouissifs !

Ils trouvent en Julien Barthe alias Plaisir de France (DJ émérite de la french touch originelle, remixeur d’Etienne Daho, Alain Chamfort, Mikado… collaborateur de Dombrance, Barbara Carlotti, Tristesse Contemporaine, Maud Geffray et producteur de Slove) un chef d’orchestre qui va faire de leurs morceaux les chapitres délirants d’une histoire electronique irréelle, un album protéiforme et luxuriant réalisé à 6 mains.

On entre ainsi dans Dopamoon comme dans une fête hédoniste et psychédélique où les invités sont tous plus fous les uns que les autres:
Les sud-africains Batuk portent l’hymne afro-pop ​Who Says au sommet de son potentiel d’allégresse collective. Le boogie surf hypnotique ​Mezcalight amène son piment à cette « fête des vivants » déjà endiablée. La soulwoman Natalia M. King renouant avec ses racines dominicaines, enfile le costume de master of ceremony et évacue tout le monde dans la rue pour une bloc party tropicale stupéfiante. Le rappeur du 667, Zukouu Mayzie en crooner moderne propose généreusement des cours de danse à sa prochaine dans ​Zouker c’est pas tromper. Comme la Lune ​invite les astres à danser autour du feu dans une ronde grisante. Les cordes Bollywood et les synthés techno se répondent dans une atmosphère extatique teintée de montées épiques. La diva américaine Sarah Rebecca, entonne ​Time is money e​ mbarquant les convives d’un pas décidé dans un disco frénétique, libérateur et moderne, qui pourrait être la bande son du Studio 54 de 2019. Sur le R&B gainsbourien ​Nuit de Satin, ​Lou et Arthur de Soleil Bleu viennent déclamer dans un jeu de questions réponses passionnelles la suite des Rêves de Satin de Patricia (magnifique reprise francophone du tube des Moody Blues de 1968). La québécoise Lydia Kepinsky prend le relai façon new wave e​ t emmène jeunes gens modernes « au 11ème étage, plus près du soleil » là où « rien n’est pareil ». L’euphorie générale continue sa course sur ​Ailleurs que le soleil,​ transportant les convives sur une dune panoramique pour apercevoir le soleil se coucher au loin sur une nuit qui sera la leur. Un épisode dream pour une course effrénée sur une plage électronique direction le cosmos.

Dopamoon puise dans une frise chronologique musicale glorieuse pour déployer un arsenal de tracks intemporelles. Les créations graphiques de Zeugl (illustrateurs d’Iñigo Montoya, Moodoïd, Entreprise, Cracki…) viennent mettre en image ce grand parc d’attraction tentaculaire et nous donnent envie de plonger de l’autre côté de l’écran pour nous déhancher au milieu de cette effusion de joie et de reveries.

On en parle dans la presse

Who Says feat. Batuk

Cette pop funk rebondie évoquera aux plus vénérables d’entre nous l’euphorie dansante des B-52’s ou de Deee-Lite. A la manœuvre, le duo parisien Francesca Veneziana et Virgile Alien, qui auraient très bien pu naître entre le Bronx et Brooklyn. Groovy baby.
LIBÉRATION

« Dopamoon : le nom suggère un cocktail survitaminé servi dans un tiki bar quelque part sous les tropiques. C’est surtout, ici, une explosion de couleurs pop, une immense fête autour du monde organisée par trois musiciens d’horizons différents. »

NOVA

« Dopamoon c’est un mélange de Blondie et de Deee-Lite avec des samples de partout, c’est étonnant c’est vraiment un coup de coeur. C’est même très The B-52’s, y a des sons, y a des humeurs années 90, années 80… »
SUD RADIO 

« L’album défonce: une grosse envie de faire la teuf à n’en plus finir. D’ailleurs, Dopamoon, c’est un peu ça en fait ; une after sans fin, du sucre en intraveineuse, une échappée temporelle et inconsciente sans règle, orchestrée par nul autre que notre cocorico PLAISIR DE FRANCE (qu’on crédite sans problème pour ses remixes/collaborations avec Etienne Daho, Barbara Carlotti, Alain Chamfort »
MAZE MAGAZINE

« Who says » ft. Batuk en diffusion sur FIP

« ailleurs que le soleil » en diffusion sur NOVA

Clips

Fermer le menu