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ALBUM "CELLULOID SWAMP" SORTIE LE 8 NOVEMBRE 2021 YOTANKA

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L’expérience est une arme à double tranchant. Après dix ans d’activisme aux avant-postes du rock indépendant, BRNS peut en témoigner. D’un côté, le groupe bruxellois s’est taillé une solide réputation. Que ce soit sur scène ou en studio, le trio bouscule inlassablement les certitudes, tout en dynamitant les frontières entre les genres. Au-delà des étiquettes et de vaines classifications, BRNS n’a jamais cessé d’offrir des alternatives. D’un autre côté, l’expérience accumulée au fil des tournées entraîne d’inévitables réflexes et nourrit un perfectionnisme tenace, toujours plus vorace.

À l’heure d’attaquer son quatrième album, BRNS s’est donc affranchi du passé pour explorer de nouvelles possibilités. Enregistré dans l’antre du Studio G, à Brooklyn, le nouveau ‘Celluloid Swamp’ s’est frotté aux idées éclairées de l’ingé-son Alexis Berthelot (Moses Sumney, Sunwatchers, Marc Ribot, Frank Ocean), avant d’être finalisé dans les décors verdoyants d’Outlier Inn, un refuge bucolique fréquenté par Big Thief, Solange ou Parquet Courts. Là-bas, les Bruxellois ont enregistré sur du matériel sophistiqué : synthétiseurs originaux et instruments de collection tapissent ainsi les moindres recoins du nouveau ‘Celluloid Swamp’. Fabriqué en trio, ce disque met également à l’honneur le timbre éthéré de Nele De Gussem, partenaire particulière et voix du morceau ‘Light Houses’.

Fruit d’un road trip new-yorkais de sept jours, l’album s’est érigé sans carte ni boussole : les neuf morceaux qui jalonnent le disque se sont dessinés dans l’instant et, surtout, à l’instinct. Dans un souci d’efficacité, BRNS s’est retranché derrière un processus créatif simplifié à l’extrême. Si le groupe file désormais droit au but, leurs compos ne sont jamais linéaires. Ici, chaque titre se distingue par ses reliefs et de nombreux contrastes. Entre climats délétères et puits de lumière, de multiples contrepoints fixent les bases d’un disque futuriste.

Réalisée en 3D par le plasticien Monsieur Pimpant, la pochette de ‘Celluloid Swamp’ explore une réalité parallèle : un monde imprégné de couleurs étranges et de bonnes ondes psychédéliques. Effort limpide et frontal, ‘Celluloid Swamp’ puise ses inspirations au cœur de la culture pop. Matières synthétiques, R&B et boîtes à rythmes accompagnent ainsi les envies électriques d’un groupe ouvert à toutes les expériences. Farouchement indépendant, BRNS met le cap sur des mélodies insouciantes et acidulées. Loin des plans aseptisés préconisés par une industrie musicale obnubilée par les algorithmes, la formation retrouve son âme et toute sa vitalité. C’est un retour en force, une véritable renaissance.

On en parle dans la presse

Les Inrocks

 

https://jack.canalplus.com/articles/ecouter/en-belgique-ces-artistes-prouvent-qu-il-n-y-en-a-pas-que-pour-angele

« Il y a dix ans, les Bruxellois chantaient Mexico avec moins de manière et nettement plus d’énergie rock que Luis Mariano, et c’était une énorme claque, scénique et auditive. Depuis, les membres de BRNS ont continué de tourner, de triturer le rock et de donner vie à une discographie qui commence à avoir une sérieuse allure. Preuve en est faite avec « Celluloid Swamp », quatrième album enregistré loin du plat pays, à New York, avec la volonté de tout en envoyer bouler, les stéréotypes du rock comme les tics de production. Ainsi, ne cherchez pas spécialement de cohérence entre la nervosité de Get Something et la pop loufoque de Money : appréciez seulement le geste d’un groupe qui souhaite avant tout se faire plaisir. »

Jack

Rock&Folk

Rolling Stone

Mowno

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