VUNDABAR

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ALBUM "DEVIL FOR THE FIRE" SORTIE LE 15 AVRIL 2022

Le chanteur de Vundabar Brandon Hagen a toujours eu le don de raconter des histoires. Enfant, il a dit à ses proches qu’il s’était blessé à la cheville en sauvant des gens d’un immeuble en feu ou en combattant un anaconda, et en effet, il a découvert le pouvoir de l’imagination.

Après sept ans de tournée et quatre albums sur leur propre label Gawk Records, le groupe de Boston s’est fait un nom avec ses chansons indie rock imprégnées de nuances d’art rock, de post-punk et de surf. La capacité de Hagen à créer des mondes immersifs dans ses disques fait également partie de l’attrait de Vundabar. Leur précédent album était plein de scènes surréalistes et de références poétiques à la mort, comme une balade remplie d’adrénaline dans un corbillard, mais leur dernier LP teste encore plus les sens.

Devil for the Fire, leur cinquième long métrage, est inspiré de plusieurs lectures sur la neuroplasticité et de nombreux films noirs, l’album invite à s’interroger sur la réalité et la perception, soulignant finalement le pouvoir de cette dernière sur la première. Hagen utilise fréquemment des voies – d’anciennes autoroutes, de l’eau vive et de l’herbe traversant une route en béton – pour illustrer les voies neuronales qu’il lisait. Selon lui, chacun a l’opportunité de croissance, de stagnation ou de destruction complète, mais le libre arbitre est ce qui modifiera notre réalité. De plus, il se concentre sur les cycles – un arbre devient un bateau, un esprit devient une main puis un couteau – qui fait allusion au changement inévitable et à la ductilité de la vie. À bien des égards, il s’agit d’un bilan encourageant pour vieillir, mais il décrit également la résilience requise pour traverser notre réalité chaotique et abrutissante.

On en parle dans la presse

« Venu tout droit de Boston, Vundabar en a dans le ventre : il nous le montre dans ce morceau interprété presque dans l’urgence, au sons de guitares tonitruantes et d’une batterie démente. Il y a ce doux crescendo, nous plongeant peu à peu dans la folie la plus dévastatrice… »

Rolling Stone

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