PABLO ALFAYA

Retrouvez PABLO ALFAYA sur :

Écoutez PABLO ALFAYA sur :

PABLO ALFAYA

Album "Hero" - sortie le 30 octobre !

Vingt-cinq ans, père italo-espagnol, mère argentine. Nom « Pablo Alfaya ».

Sa grand-mère, argentine, lui offre sa première guitare. Tout part de là. Le scénario de Pablo débute.
Sur son script, les fantômes des disques de Bowie, des Beach Boys, et de 10 CC. Puis vient la rencontre avec Franck et Alice du label Vietnam. Le scénario de Pablo se précise.

Arrive alors ce premier album, enregistré sur ses terres grenobloises au Control Studio, une bulle de son qu’il s’est construite, avec l’aide du précieux JP Maillard qui réalise et laisse sa griffe sur le disque. Julien Poitou s’installe aux drums. Le scénario de Pablo est lancé.

Écran noir.

« Hero », c’est le nom du premier album de Pablo Alfaya.

« Hero », c’est un folder que Pablo Alfaya nous a concocté, et dans lequel se sont glissés 10 éléments d’une pop extensible, aigre-douce, remarquablement exécutée. Mais entre l’air, le feu et la terre, l’élément le plus important de ce premier opus, c’est l’eau. « Ocean », premier single de Pablo sorti en juin dernier, est une bande-annonce solaire qui fleure bon l’écume,

les coquillages contre lesquels on peut tendre l’oreille. Le retour d’un été permanent. Un beach-break musical. Mais « Hero », ce n’est pas simplement ce songwritting estival.

Dans « Hero », la musique de Pablo Alfaya plane souvent, ne se fige jamais, se joue la plupart du temps des lignes et des atmosphères. « Hero » se déguise, oscille entre productions frappantes et mélopées des sixties. « Hero » avance en travelling. La pellicule de Pablo aime observer, décrire, survoler les territoires de la côte ouest, dévisager les soirées arrosées, les mélancolies des nuits excentriques (Sad Night, Dancing), tout en s’immisçant dans les rêves de Tiffany (Tiffany’s Dream). Et au milieu de la foule en transe, des sentiments contrariés et des verres de « sex on the beach » vides, il y a pourtant toujours quelqu’un pour retenir notre attention, il y a cet espoir inquiétant, lunaire (It’s You In the Middle).

Écran noir.
Sortie de route.
« Innover, c’est aller de l’avant sans abandonner le passé » disait Kubrick. Mais le passé importe peu. «Hero » c’est aujourd’hui.
De quoi sera fait demain pour Pablo Alfaya et ses mille vies ?

On en parle dans la presse

“Le genre de titre qu’aurait pu imaginer Brian Wilson des Beach Boys dans ses belles années” Libération
« Pablo Alfaya va vous faire aimer la pop et les naufrages” Les Inrocks
“Un Franco-Argentin qui chante l’océan comme à la grande époque des Beach Boys” Brain Magazine
“Pablo Alfaya a certainement grandi avec MGMT, les Beach Boys et un coquillage dans les oreilles” Jack

 

Clips

Fermer le menu