Marc Desse

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Marc Desse

Depuis le début des années 2010, le chanteur Marc Desse a fait bande à part dans cette nouvelle scène pop française.

C’est par les Etats-Unis qu’il apparaît sur les radars, en 2011, avec son tout premier single lo-fi PETITE ANNE sorti sous forme de split 45 tours sur le label Bleeding Gold Records. La sortie du titre VIDEO CLUB en 2012 voit le style de Marc s’affûter, agrémenté cette fois des batteries de David Graw qui ne l’ont pas quitté depuis. En 2014 sort son premier album NUIT NOIRE, un voyage noctambule et urbain qui a su digérer totalement ses influences. Entre textes français, électricité et immédiateté pop, Marc Desse a su trouver un langage et un imaginaire qui lui appartiennent, à la fois complètement contemporain et sans concession.

Ces dernières années ont été celles d’une recherche, d’un renouveau pour l’artiste enrichies de quelques apparitions. On
l’a vu en 2015 dans la série de portraits Paris Sessions immortalisés par Hedi Slimane sur la scène pop française ainsi qu’en 2018 sur l’album Génération(s) éperdue(s) en hommage à Yves Simon.

Aujourd’hui, Marc Desse est enfin de retour dans l’actualité hexagonale. Son nouveau disque éponyme, MARC DESSE, est composé de onze instantanés qui résonnent tel un clair-obscur avec son premier opus. Le rejeton de Taxi Girl s’affirme à la fois plus pop et lumineux dans ses nouvelles chansons. Il chante ici des épisodes de vie, des sentiments, des rencontres qui ont jalonné les années passées. Enregistré entre Paris et Détroit, ce nouvel album est aussi le fruit de belles collaborations, notamment à la réalisation que Marc a confiée au multi-instrumentiste et arrangeur Gaël Etienne (Lescop, Requin Chagrin…) qui co-signe, à la composition, la quasi-totalité des titres.

La chanson SI TU VEUX est née de plusieurs sessions de travail avec l’auteur-compositeur et réalisateur Frédéric Lo (Daniel Darc, Bill Pritchard…) et JE T’ADORE de la collaboration avec le compositeur et arrangeur multi-instrumentiste Antoine Rault, qui accompagne le groupe Forever Pavot et Carmen Maria Vega. Pour ce qui concerne le mixage, l’artiste a fait le choix de renouveler la collaboration avec Erik Maluchnik. Le mastering est quant à lui assuré par Benjamin Joubert.

Entre l’hymne imparable PARIS JE T’AIME, le tube synthpop LES ÉTOILES et la ballade ténébreuse JE NE PARS PAS SANS AMOUR, le chanteur franco-espagnol multiplie les étincelles. Un nouveau printemps commence pour lui.

On en parle dans la presse

« Lorsque paraît en 2014 son premier album, Nuit noire, Marc Desse rejoint les rangs d’une scène pop hexagonale revigorée, déjà distinguée par les esthètes Lescop, Aline, Granville ou encore La Femme. Ces nouveaux « Jeunes Gens Mödernes » avaient pour modèle les aînés de l’après-punk Elli et Jacno, Taxi Girl et Etienne Daho. Un peu plus dandy rock dans l’esprit, l’auteur, compositeur et interprète franco-espagnol exalte, pour sa part, une poésie romantique et ténébreuse, des mélodies au charme instantané chantées en français, imprégnées de guitares surf garage et de synthétiseurs nostalgiques (…) »

https://www.lemonde.fr/culture/article/2021/07/02/selection-albums-olga-pashchenko-wadada-leo-smith-rostam-marc-desse-brassens-et-dal-um_6086715_3246.html

Le Monde

« La filiation avec Taxi Girl s’impose et séduit immédiatement. Voix légèrement traînante et claviers tournoyants, histoires d’amour qui hésitent entre supplique et extase… Marc Desse ne s’en cache aucunement, assumant la référence comme une ligne directrice et non comme un carcan. Il s’entoure même sur ce deuxième album d’autres fans éternels, comme Frédéric Lo, artisan du retour de Daniel Darc début 2000, ou Gaël Étienne, musicien derrière les arrangements de Requin Chagrin et de Lescop, rejetons très dignes du trio romantique et noir des années 1980. Marc Desse possède suffisamment de mélodies inspirées pour apporter sa pierre à l’édifice d’une pop en français aux bottines rock, qui claque en 2021 (…) »

Télérama

Les Inrocks

« Il préfère voyager discrètement dans le passé, au début des années 1980, quelque part entre les débuts d’Etienne Daho et les premiers pas de Daniel Darc hors de Taxi Girl. Pour être plus juste, on pense à un Daho ou à un Darc lui-même nostalgique du velvet-underground (…)

Technikart

 

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