COMATEENS

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COMATEENS

COMATEENS - RÉÉDITION INÉDITE PAR TRICATEL - DISPONIBLE LE 29 NOVEMBRE 2019 !

Evidemment, c’est le style. Ce qui différenciera toujours un groupe de Paris d’un autre de Limoges, un groupe de New York d’un autre du Wisconsin. Un truc impalpable. Une façon de porter des Wayfarers, une nuque longue couleur jais, un modèle de guitare… Un mélange équilibré de candeur et de morgue. New York fucking City. Quand Comateens a posé le pied ici, c’était le tournant des seventies, inséminées par le punk, et des eighties, modernes et gaies. Dans le nord de Manhattan, Uptown, comme dans la chanson d’un autre groupe au spectre vocal crystalien, ils avaient, inné, l’héritage du Brill Building comme celui de Simon & Garfunkel. Cette science infuse de la perfection pop. Passé par le punk foutraque de downtown, le trio bizarre (pas de batteur) était, comme souvent, une affaire de famille : le guitariste était le petit frère du bassiste, qui sortait avec la chanteuse. Des chats de gouttière efflanqués, deux types issus de la middle class et une semi portoricaine de la 181 eme rue, Washington Heights, là où personne ne va, où les rétroviseurs des voitures rincées portent en sautoir des drapeaux dominicains ou des vierge Marie en pur plastique de San Juan. Épicé, le quartier.

En prenant racine du vieux côté de l’Atlantique, Comateens suscita des épiphanies renouvelées, des éjaculats de bonheur dont le souvenir est toujours aussi vivace.

On sait tous combien il est perturbant de retrouver un amour de jeunesse, impliquant des questionnements rétrospectifs sur les combustions sentimentales à date de péremption effacée. Ces chansons, elles, ont gardé une fonction érectile intacte : charme en cascade, perfection des lignes, velouté des mélodies. On vérifie à chaque écoute la pertinence immarcescible des ‘Get Off My Case’, ‘Late Night City’, ‘Don’t Come Back’ ou ‘The Late Mistake’, des pépites qui, jouées en soirée, vous valent l’assentiment ému des danseurs, et la curiosité de jeunes oreilles soudain déflorées par ces évidences de chansons.

Jean-Eric Perrin

On en parle dans la presse

RTL – Émission « Bonus Track »:

« La synth-pop ce n’est pas que l’Angleterre, c’est aussi et surtout ce groupe qui s’appelle les Comateens qui est un groupe américain (…) C’est culte évidemment pour tous les amoureux de la new wave des années 80 (…)
Les Comateens ont travaillé avec Etienne Daho en 2002 (pour l’album « dans la peau de Daho », ont été une influence majeure pour Nicolas Sirkis…
Le label Tricatel vient de rééditer les trois albums du groupe. »
Eric Jean-Jean
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FRANCE INTER – Émission « Et Je Remets le Son »:

« les Comateens adorés puis parfois oubliés font l’objet d’une très belle réédition chez Tricatel. »
Matthieu Conquet
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LES INROCKS:

« Pépites synthpop Longtemps espérée, la réédition des trois précieux albums de l’atypique trio new-yorkais, notamment acclamé par Etienne Daho, est désormais réalité. Grâce à Tricatel, le label de Bertrand Burgalat, les Comateens voient donc leur discographie à nouveau disponible dans une superbe édition triple vinyle. L’occasion rêvée de (re) découvrir ces heures glorieuses d’une synthpop nourrie au punk foutraque et à la pop eighties. On pense notamment à ces pépites merveilleuses que sont Get Off My CaseLate Night CityDon’t Come Back ou The Late Mistake. De quoi danser autour du sapin de Noël. »

+ dans le hors série « Best Of Musique » des Inrocks
3e des 15 des meilleures rééditions par Patrick Thévenin

LIBÉRATION:

« Nombreux sont les groupes des années 80 qui ont remplacé leur batteur par une boîte à rythmes, mais les Comateens l’ont fait avec un style et une énergie sans pareil. On avait envie de faire la fête en écoutant leur musique, aussi «petit» que pût être leur son. »
Alexis Bernier

TÉLÉRAMA:

« Ils ont disparu des radars depuis des siècles pour réapparaître par surprise, cet automne, sur une scène parisienne en compagnie de leur fidèle admirateur Etienne Daho qui fêtait son Eden. Comme l’indique le titre de l’élégante réédition de leur œuvre sur le label de Bertrand Burgalat (disponible le 29 novembre), les Comateens sont passés en coup de vent dans le paysage déglingué du New York de l’after-punk. 1980 pour le début, 1985 pour la fin. Point. Et rien que trois albums de pop speedée, décharnée, addictive, rassemblés ici en un seul recueil qui ravive le souvenir d’intenses soirées et permet de revivre, enjoué, cette courte saga dont les Français furent friands. »

ROLLING STONE
Guide musique quick hits
⭐️ ⭐️ ⭐️ ⭐️
Sophie Rosemont

TSUGI

« Riche idée de rééditer les Comateens. Indisponibles depuis trop longtemps, les albums de ce trio new-yorkais méritent mieux qu’un statut poussiéreux dé fétiche pour quinqua nostalgique (…) Les Comateens avaient un petit son étriqué et synthétique avec lequel ils savaient faire des ravages ».

MAGIC:

« À ceux d’entre vous qui voudraient limiter The Comateens à un tube indie pop d’un autre temps avec don’t come back, cette réédition de leur discographie par le label Tricatel offre la possibilité de réévaluer un groupe mésestimé »

SECTION 26:

 

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